"Lorsque ce qu'on vous a fait es impardonnable. Si c'est pardonnable, si ce n'est pas très grave, alors la question du pardon ne se pose pas ! La question du pardon ne se pose en fait que face à l'imperdonanble. Plusieurs questions émergent alors. En sommes-nous vraiment capables ? Le pardon ne nous demande-t-il pas quelque chose de surhumain ? N'y a-t-il pas finalement une logique de rapport de forces dans le pardon, comme si pardonner revenait à dire à celui qui nous a fait du mal que nous valons mieux que lui ?"
Réponse de Charles Pépin au lecteur Louis-Henri Michaud (82 ans)
dans Philosophie Magazine, septembre 2014
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