viernes, 28 de noviembre de 2014

LES PHOTOS DE LA SEMAINE de 4rt ESO

Dans le parc de Cabárceno (Cantabria) il y a beaucoup d'animaux avec beaucoup d'espace. (Sandra) 
Ma vie sans le basket-ball n'aurait pas de logique. (Marta)

Si vous n'utilisez pas vos ailes,vous ne saurez jamais si vous pouvez voler. (Fàtima)
C'est une façon de tuer les illusions avant que le film soit présenté. (Carla)

Il s'appelle Ivo, il est très jeune; il  aime prendre le soleil, nager et manger des miettes
de pain. Il est aussi follement amoureux de la plus jolie cane de l'étang, Patty a de belles plumes et un bec parfait. Il n'ose pas lui dire autre que coin coin.  Que de choses... n'est-ce pas ?

Parfois la solitude est la meilleur des compagnies. (Judit)

UN PEU D'HUMOUR

LES CHATS NINJA



Ils sont capables de tout ces chats. Ils ont de superpouvoirs et sont toujours prêts pour entrer en combat. Montrez-leur votre admiration.

lunes, 24 de noviembre de 2014

LES PHOTOS DE LA SEMAINE de 4rt

L'équitation c'est mon activité préférée. (Sandra)
Les gargouilles poignent sur les remparts de l'église. (Judit)
Vivre avec un soupir permanent dans la poitrine et un chatouillement dans l'estomac et, enfin, parce que je suis comme ça! (Toni)
Même les chats errants l'aiment (Carla)
Tout le monde a fait confiance une fois dans la vie à la personne erronée. (Fatima)

domingo, 9 de noviembre de 2014

HISTOIRE DE FRANCE : PARIS SOUS L'OCCUPATION

L'Amour sous l'Occupation
Texte: Lisa Dermer
Traduction: Joana Furió


La France était occupée par Allemagne en 1940 et restée occupée pendant presque toute la deuxième guerre mondiale, jusqu’à 1944.
 Plusieurs artistes ont fui le pays, mais ceux qui sont restés ont crée un registre valable d’un peuple opprimé. Robert Doisneau, Edith Piaf, et Louis Aragon étaient toutes artistes parmis ces artistes en France pendant l’Occupation.

Blog de angor :Phot-image, DOISNEAU  -  2570 - PARIS  sous  l'occupation - 1942Doisneau était photographe, Piaf était chanteuse, et Aragon était écrivain. Doisneau et Aragon étaient résistants : Doisneau travaillait pour la presse clandestine, et Aragon a fait partie du maquis à Vercors. Doisneau, Piaf, et Aragon restaient en France et continuaient à composer leur art respectif. Alors, ils exprimaient les sentiments du peuple de Paris et de la France pendant l’Occupation. Ils ont montré que l’amour et la joie de vivre continuaient en face de la déshumanisation. Les chansons d’Edith Piaf, les photos de Doisneau, et la poésie d’Aragon suggèrent les effets de l’Occupation et comment l’amour survivait pendant la guerre. Ils montrent que l’amour n’était pas un havre où on pouvait oublier le monde tragique ; l’amour était touché par les effets de la haine. Pourtant, ces artistes expriment que le peuple de la France pouvait communiquer avec l’amour quand il étaient étouffé par l’haine.

En 1940 Francia estaba ocupada por Alemania y permaneció ocupada durante casi toda la segunda guerra mundial, hasta 1944. Muchos artistas huyeron del país, pero quienes permanecieron en él crearon un registro válido de un pueblo oprimido. Robert Doisneau, Edith Piaf y Louis Aragon son una muestra de los que se quedaron en Francia durante la Ocupación. Doisneau era fotógrafo,  Piaf cantante y Aragon escritor y poeta. Los dos hombres pertenecían a la Resistencia: Doisneau trabajaba para la prensa clandestina, y Aragon formaba parte del maquis de Vercors.
Doisneau, Aragon y Piaf permanecieron en Francia y siguieron creando sus obras en sus respectivas artes. Por eso puede decirse que expresaban el sentimiento del pueblo de París y de toda Francia durante la Ocupación. Demostraron que el amor y la alegría de vivir seguían vigentes frente a la deshumanización. Las canciones de Edith Piaf, las fotografías de Doisneau y la poesía de Aragon sugieren los efectos de la Ocupación y cómo el amor sobrevivió a lo largo de la guerra. Muestran que el amor no era un puerto seguro en el que uno podía evadirse de la tragedia del mundo; el amor también se veía afectado por los efectos del odio.  Sin embargo, esos artistas ponían de manifiesto que el pueblo francés podía comunicarse a través del amor cuando en la realidad se veía sofocado por el odio.




Robert Doisneau nous présente une image éternelle de l’amour en face des tragédies et des souffrances avec sa photo L’amour sous l’occupation. Doisneau est né en 1912, il était soldat pendant la deuxième guerre mondiale jusqu’à ce qu’il doive quitter l’armée à cause d’une maladie qu’on craignait être la tuberculose. Ce départ est devenu permanent à cause de l’occupation de la France par les Allemands en 1940. Doisneau aimait les optiques de la vie ordinaire et y trouvait la beauté. Au lieu de chercher un instant décisif, une combinaison de structure et action qu’il faut chasser, Doisneau s’appelait un « pêcheur des images ». Ses photographies créent des récits sujets à interprétation. Il ne préférait prendre ni la violence ni la haine ni la pauvreté en photo. Donc quand il est resté à Paris pendant l’occupation de 1940 à 1944, il a choisi de photographier les citoyens de Paris. Comme le flâneur décrit par Baudelaire, il observait et enregistrait les rues de la ville. Il préférait des œuvres plus difficiles à faire que celles du désespoir, où « the combination of creativity, chance, play, even désobéissance, contrives to produce a magical effect » (Hamilton 30). Ainsi L’amour sous l’occupation est sans doute une photo de la période de l’occupation, cependant son sujet n’est pas l’oppression du peuple français mais comment ils se sont débrouillés sous l’occupation.

Robert Doisneau nos presenta una imagen eterna del amor frente a las tragedias y sufrimientos con su fotografía El amor bajo la Ocupación. Doisneau había nacido en 1912, fue soldado durante la IIGM hasta que se vio obligado a abandonar el ejército a causa de una enfermedad, que se temía fuese tuberculosis. Este permiso se convirtió en permanente debido a la Ocupación de Francia por Alemania en 1940. A Doisneau le gustaban las visiones de la vida cotidiana porque creía que en ésta se hallaba la belleza real. En lugar de buscar el instante decisivo, una combinación de estructura y acción que hay que atrapar, Doisneau se consideraba un "pescador de imágenes". Sus fotografías crean historias que se someten a una interpretación. No estaba entre sus preferencias temáticas ni la violencia ni el odio ni la pobreza. Por eso, cuando se vio obligado a permanecer en París durante la Ocupación de 1940 a 1944, eligió fotografiar a los ciudadanos de París. Al igual que el paseante (flâneur) descrito por Baudelaire, el fotógrafo observaba y registraba en imágenes las calles de la ciudad. Prefería crear obras más difíciles que aquellas en las que se representaba la desesperación; en ellas "la combinación de creatividad, suerte, juego,e incluso desobediencia contribuye a crear un efecto mágico." (Hamilton 30). "El amor bajo la Ocupación" es sin duda una foto de esa época, aunque el tema no sea la opresión del pueblo francés sino cómo se desenvuelven bajo la Ocupación.

La composition d’éclairage, structure, et couleur suggère un récit sur le couple dans la photo : leur lutte présente, leur futur indistinct, et les événements qui les ballottent. Au premier plan, on trouve une barricade de fil de fer barbelé qui est la seule indication de la turbulence du monde extérieur de la photo, elle rappelle l’horreur des camps de concentration et de la guerre de tranchées. Derrière la barricade il y a un chemin long et large, qui aboutit à un immeuble indistinct. La géométrie de la photo attire l’œil jusqu’à la fin du chemin. La rangée d’arbres, le chemin, le mur, et le ciel tous avancent vers ce point d’òu leurs lignes semblent rayonner. Il semble que le chemin soit une métaphore pour le passage de temps, et le monde avance vers quelque chose. On peut voir qu’elle existe, quoique sa forme soit floue.

La composición de la iluminación, estructura y color sugieren la existencia de una historia relacionada con la pareja de la foto: su lucha presente, su futuro incierto y los acontecimientos que los sacuden. En primer plano vemos una barricada de alambre de espino, que es la única indicación de la turbulencia del mundo exterior a la foto, nos recuerda el horror de los campos de concentración y de la guerra de trincheras. Detrás de la barricada hay un camino largo y ancho que conduce a una edificación imprecisa. La geometría de la foto atrae al ojo para que siga al final del camino. La hilera de árboles, el camino, el muro y el cielo avanzan hacia ese punto desde donde parecen brillar sus líneas. Parece como si el camino fuese una metáfora del paso del tiempo y el mundo avanza hacia cualquier cosa. Podemos ver que existe, por más que su forma esté borrosa.

La scène est manifestement parisienne, en fait elle se trouve dans le célèbre jardin des Tuileries. À chaque côté du chemin il y a une rangée d’arbres, quoiqu’à la gauche un mur bas la sépare du chemin. Les arbres sont parfaitement alignés et droits, presque régimentés ; ils ressemblent à une file de soldats. Comme ils sont derrière les amants qui sont le sujet de la photo, ils semblent les regarder en secret, comme des agents cachés du gouvernement. Quoiqu’ils représentent la nature sur la photo, leur présence est menaçante et leur ordre parfait n’est pas naturel. Les troncs des arbres se retrouvent dans les planches qui forment la barricade en bas de la photo. Ainsi le bois forme un cadre à trois côtés de la photo, mais elle est ouverte en haut où elle termine avec le ciel. Comme la photo est en noir et blanc, ce triangle de ciel apparaît presque blanc, donc il s’harmonise avec la feuille blanche sur laquelle la photo est souvent présentée.

La escena es indudablemente parisina, y la prueba es que se trata del famoso jardín de las Tullerías. En cada lado del camino se aprecia una hilera de árboles, aunque a la izquierda hay un pequeño muro que los separa del camino. Los árboles están perfectamente alineados y rectos, casi marciales; se parece a una hilera de soldados. Al hallarse detrás de los amantes que son el tema de la foto, parecen estar contemplándolos en secreteo, como agentes ocultos del gobierno. Aunque son la representación de la naturaleza en la foto, su presencia es amenazadora y el orden perfecto no es nada natural. Los troncos de los árboles tienen un eco en las planchas que forman la barricada en la parte inferior de la fotografía. La madera forma un marco en los tres lado de la foto, pero se encuentra abierta por arriba, donde termina en el cielo. Como es una foto en b/n, ese triángulo de cielo parece casi blanco, y halla un reflejo armónico con la hoja blanca sobre la que suele presentarse la fotografía. 

Ceci renforce l’apparence d’une photo ouverte et lumineuse. Le ciel est la seule source de lumière dans la photo, donc l’éclat semble s’élargir vers la feuille de papier. La photo est donc très claire d’une lumière naturelle. À la gauche du couple il y a une lampe à gaz qui n’est pas allumée. Elle représente la technologie, mais sur la photo elle est inutile : le soleil éclaire la scène. Ainsi elle montre l’inutilité et la futilité de la société. Derrière les arbres à gauche de la photo, on peut voir à travers leurs troncs un fleuve et son autre bord. Il reflète un pont entre les deux bords. Le thème de la photo se retrouve dans ce pont, qui à la fois unit et sépare les bords, comme le couple est unis mais aussi séparé du monde. Le courant du fleuve semble représenter le monde qui change très vite autour de la scène calme. L’eau passe par les arches ouvertes du pont, qui reste en place : comme le couple, il a la fortitude de résister du changement.

Con esto se refuerza la apariencia de una foto abierta y luminosa. El cielo es la única fuente iluminación en la foto, por lo que el resplandor parece ampliarse hacia la hoja de papel. La foto es muy clara gracias a la luz natural. A la izquierda de la pareja hay una farola de gas apagada. Representa la tecnología, pero en la foto resulta inútil porque es el sol el que ilumina la escena. Así se muestra la inutilidad y la futilidad de la sociedad. Detrás de los árboles a la izquierda de la fotografía podemos ver a través de los árboles un río y su otra orilla. En él se refleja un puente entre ambas orillas. El tema de foto se repite en ese puente, que une y separa a la vez las orillas, del mismo modo que la pareja está unida y a la vez separada del mundo. La corriente del río parece representar el mundo que cambia muy deprisa alrededor de la escena en calma. El agua pasa por los arcos abiertos del puente, que permanece en su lugar: como la pareja, tiene la fortaleza de resistir. 

Deux croix faites de planches font un espace dans la barricade et au-dessus forment un cadre pour les deux amants qui sont le sujet de la photo. Ils sont assis près de la barricade, de l’autre côté du photographe. Ils sont habillés en couleurs sombres et avec des vêtements formels, ils ne sont ni vieux ni jeunes : ils sont ordinaires. Les deux sont seuls dans la photo, on voit à mi-chemin une table et des chaises vides. Leur solitude est palpable ; il semble que le photographe est un intrus dans un moment privé. Le couple reste sur deux chaises qu’on voit de profil. Les pieds de leurs chaises sont des croix en fers, les lignes ressemblent aux planches croisées de la barricade. Les croix renforcent l’impression d’un arrêt au premier plan de la photo et rappellent le symbole de la souffrance des chrétiens. 


Dos cruces hechas con troncos de madera crean un espacio en la barricada, formando por encima un marco para los dos amantes protagonistas de la foto. Ellos están sentados cerca de la barricada, del otro lado del fotógrafo. Visten con colores oscuros y estilo formal, no son ni viejos ni jóvenes: son normales y corrientes. Aparecen solos en la imagen, a medio camino se distingue una mesa y unas sillas vacías. Su soledad es palpable, parece como si el fotógrafo fuese un intruso en un momento íntimo. La pareja permanece sentada en sendas sillas que vemos de perfil. Las patas de sus sillas son cruces de hierro y sus líneas se parecen a las de los troncos cruzados de la barricada. Las cruces refuerzan la impresión de un stop en el primer plano de la foto y recuerdan al símbolo del sufrimiento de los cristianos. 

Sur les chaises, l’homme est derrière et la femme devant, il la tient des deux mains et elle s’incline vers lui, en se cachant la figure dans son épaule. Donc on ne voit que la figure de l’homme. Il a les yeux fermés, et sa bouche forme un sourire doux et tendre. Ils semblent se consoler. Une valise et un sac sont par terre devant les chaises et un sac à main est accroché à la chaise de la femme. Ces possessions suggèrent un voyage, en contraste avec le couple complètement immobile. Ces affaires semblent rester en désordre, n’importe comment, mais les amants sont élevés sur leurs chaises et ainsi isolés de leurs possessions. 


El hombre está sentado detrás y la mujer delante. Él le coge ambas manos mientras que ella se inclina hacia él, escondiendo el rostro en su hombro, por lo que solo vemos el rostro del enamorado. Éste mantiene los ojos cerrados, la boca forma una sonrisa dulce y tierna. Parecen estar consolándose mutuamente. En el suelo, delante de las sillas, vemos una maleta y una bolsa, y un bolso de mano aparece colgado de la silla donde se sienta la mujer. Estas posesiones sugieren un viaje, en contraste con la pareja que está totalmente inmóvil. Esos objetos parecen en desorden, sin importar cómo, pero los amantes están elevados en sus sillas y de esta forma se ven aislados de sus posesiones.

Leurs chaises sont parfaitement en ligne, donc on ne peut voir qu’un peu des pieds de la chaise de l’homme : il semble qu’il flotte à côté de la femme. Cela renforce sa manière paisible et angélique. Leur étreinte ressemble à celle d’un père et de son enfant, il la protège. Leur pose crée une régularité de couleur : le blanc des mains et de la chemise de l’homme, et les jambes et mouchoir de la femme, coupent le noir de leurs vêtements. La juxtaposition des couleurs les rendent frappants sur la photo, et attire l’attention de la visionneuse. Le couple semble avoir traversé la barricade pour obtenir cette époque tranquille où ils n’ont que leur amour pour se soutenir.

Sus sillas están perfectamente alineadas, por lo que no podemos ver más que una sola de las patas de la silla del hombre: parece flotar junto a la mujer. Ese detalle refuerza su estilo apacible y angelical. Su abrazo se asemeja al de un padre a su hijo, él la protege. Su pose crea una regularidad de color: el blanco de las manos y de la camisa del hombre, y las piernas y el pañuelo de la mujer cortan el negro de su indumentaria. La yuxtaposición tonal resultan impactantes en la fotografía y atrae la atención de quien mira. La pareja parece como si hubiese atravesado la barricada para obtener ese momento tranquilo en el que sólo cuentan con su amor como punto de apoyo. 


Doisneau prenait plusieurs photos de Paris sous l’occupation, mais à cause du prix du matériel il fallait économiser. Donc pendant ce temps, il employait des modèles et fabriquait des scènes pour photographier (Hamilton 96). Il est probable qu’il a construit cette scène avec l’intention de montrer l’amour sous l’occupation. Doisneau montrait la vie quotidienne des Parisiens pendant cette période, mais ici il présente un testament à l’amour qui pouvait aider les gens à continuer la vie quotidienne. En face de leur pays occupé, représenté par le fil de fer barbelé, et les changements dans leur vie, représentée par leurs sacs et l’écoulement du fleuve, ce couple trouve un instant de paix et solitude dans un coin inchangé de la ville. Le chemin symbolise leur futur indistinct à travers la guerre. Il est vide dans la photo, à ce moment on ne sait pas qui vivra dans le futur proche. Les amants ne savent qu’ils avanceront ensemble. La barricade semble être un bref instant sur le chemin de leur vie. Donc la photo a un message d’espoir et montre l’optimisme de Doisneau. L’occupation finira et la ville sera la même. L’amour durera à travers l’occupation et dans toutes les situations difficiles du monde. Le point de vue du photographe et pour des gens qui voient la photo est de l’autre côté de la barricade du couple. Donc la scène est vraiment une vision d’espoir pour le futur, vue par les Français sous l’occupation.



PARIS, sous l'occupation....( Robert Doisneau )PARIS, sous l'occupation....( Robert Doisneau )

Doisneau tomó varias fotografías de París bajo la Ocupación, pero el precio del material lo obligaba a ahorrar en película. Por eso, durante esa época empleó modelos y montaba las escenas que iba a retratar (Hamilton 96)Es probable que montara esta misma escena con la intención de mostrar el amor en esa dura época. Doisneau mostraba la vida cotidiana de los parisinos en ese momento, pero también un homenaje al amor que podía ayudar a la gente a proseguir con su vida cotidiana. Frente a su país ocupado, representado por la alambrada, y los cambios en sus vidas, representados por sus bolsos y el fluir del río, esa pareja halla un instante de paz y soledad en un rincón inmutable de la ciudad. El camino simboliza su futuro indefinido en el transcurso de la guerra. En la foto aparece vacío, en ese momento no se puede saber quién vivirá en un futuro próximo. Los amantes no saben que avanzarán juntos. La barricada parece un simple obstáculo en el camino de sus respectivas vidas. Por eso la fotografía contiene un mensaje de esperanza y hace gala del optimismo de Doisneau. La Ocupación terminará y la ciudad volverá a ser la que era. El amor durará a través de la Ocupación y en todas las situaciones difíciles del mundo. La perspectiva del fotógrafo y la de quienes contemplan la foto se halla al otro lado de la barricada donde se encuentra la pareja. Esto reafirma que se trata de una visión de esperanza en el futuro, el que tendrán los franceses que ahora se encuentran bajo el yugo de la Ocupación.

VOS PHOTOS DE LA SEMAINE (4)

Es mostra 100_0135.JPG.
Oh là là! J'ai rencontré le cosplay de mes personnages favoris de la série japonaise Blue Exorcist. 
Ils sont trop bons! (Pilar)


C'est ton visage quand quelqu'un te dit quelque chose qui ne te plaît pas. (Nuria)


Voilà pourquoi il l'adorait davantage: par l'éternelle folie de poursuivre ce qui nous fait du mal. (Fatima)



Parce qu'un coucher de soleil est l'une des plus belles choses que vous pourriez admirer. (Nuria)




Il y a deux sortes de frères et soeurs: ceux que te donnent tes parents et ceux que te donne la vie. (Marina)


Les nuages grises couvrent le ciel sans laisser les rayons de soleil transpercer  leur barrière. (Judit) 



Le lac, en allant vers sa destination, fait de petites vagues qui reflètent le soleil rayonnant. (Judit)


On finit par devenir ce qu'on voit dans les yeux de ceux à qui on désire. (Fatima)









sábado, 1 de noviembre de 2014

VOS PHOTOS DE LA SEMAINE (3)

Les bons amis sont toujours là pour se soutenir (Marta)
Ma petite soeur a changé ma vie et a présent elle est le plus important dans ma vie (Carla)
Parfois nous ne nous montrons pas comme nous sommes par peur d'être jugés (Judit)
Avec ses grands yeux il est prêt pour trouver quelque chose à manger (Sandra)


La mer et le ciel sont seuls jusqu'à sa rencontre dans l'horizon (Judith)

Rien de mieux qu'un bon compagnon de voyage (Toni)






JOUEZ LES DÉTECTIVES AVEC POLARFLE

http://www.polarfle.com/crime/crimedeb.htm

Niveau débutant - index des cours FLE


Polar FLE - Bernadette Dejeu

Cette histoire commence en France. Dans la nuit du jeudi 15 décembre 1999, la police découvre une femme morte sur la plage de Trouville.
La victime, Madame Bernadette Dejeu est petite, elle a les cheveux bruns et mi-longs et ses yeux sont verts. Ses vêtements sont mouillés. Elle porte une allianceun grand manteau marronun tailleur noirun chemisier blanc et des collants. Elle n’a pas de chaussures.
Dans son sac à main, il y a un portefeuille avec un vieux ticket de bus, deux trousseaux de clés, une note d’hôtel, 100 francs en espèces, 1500 lires italiennesun briquetun carnet d'adresses et la photo d’un homme. Il n’y a pas de papiers d’identité.
L'inspecteur Roger Duflair doit retrouver le, la ou les coupable(s) mais pour le moment, il n’a pas beaucoup d’indices.

TU OU VOUS?

Tutoyer ou vouvoyer ? 

- Culture Tu ou vous ? Les Français tutoient (disent tu) ou vouvoient (disent vous) selon les personnes et les circonstances. Comment ?



En général on dit  tu 
  • aux personnes de la famille 
  • aux amis, aux camarades.
On dit  vous  aux autres personnes. 
    Dans la famille 
    Papa, 
    tu me prêtes 20 euros, s'il te plaît ? 
    Bon ! Je 
    te donne 20 euros. Voilà !
    Merci, papa ! Tu es le plus gentil de tous les papas. 

    Avec les amis :
    Salut ! Comment vas-tu ? 
    Très bien, et 
    toi ? 
    On vouvoie une personne inconnue, ou quelqu'un qu'on connaît, pour montrer du respect ou une relation formelle.
    Dominique, vous avez cinq minutes, s'il vous plait ?
    Oui, Monsieur le Directeur, si vous voulez.

    Quand Nadine rencontre des personnes à l'Hôtel de Ville de Paris ou à la bibliothèque Sigmund Freud, elle leur dit vous